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Chapitre 16   LES IMPASSES

 


  L'impasse, manoeuvre fréquente et assez simple, consiste à réaliser une levée avec une carte dont les adversaires ont au moins une plus haute dans la même couleur.

L'impasse peut être simple, double, bidirectionnelle, indirecte et l'impasse en coupe (de son vraie nom l'expasse). Il y a aussi la fausse impasse et l'impasse psychique.

D'abord, un mot sur les fausses impasses. J'en glisse un mot parce que j'ai constaté que certains débutants l'utilisaient. La fausse impasse est celle qui ne peut réussir. J'ai vu récemment le cas suivant : On part de la dame de Dxx vers Axx. C'est évidemment tout ce qu'on veut en termes d'inefficacité, mais certainement pas une impasse ! Car ou bien la dame est couverte du roi par FG (flanc gauche), et on ne fera qu'une levée en bouffant de l'as ; inversement, si le roi est chez FD, on ne fera aussi qu'une levée, soit avec l'as encore une fois.

Ce qui nous amène à définir l'impasse psychique, que je n'ai vu traiter dans aucun manuel. Elle consiste justement à faire une fausse impasse, mais sans qu'elle ait l'allure d'une fausse impasse. L'exemple suivant le fera comprendre immédiatement

                             A6

                    R987

                            D32


Nous sommes à SA. Le déclarant joue sa dame. FG est mort de rire. Il ne va pas mettre bêtement son roi, car l'as tombe au deuxième tour. Le roi sera donc affranchi le tour d'après ! Vraiment Sud est bête… Vraiment ? Sud joue là où il faut jouer au bridge : dans la tête de ses adversaires. Cette dame est peut-être sa levée manquante.  tout le moins, une levée de plus, dans la notation de la partie par paires, lui donnera un excellent résultat.

L'impasse simple, je vais faire une lapalissade, n'est pas compliquée. Pourtant, tout parfait petit professeur de bridge a rencontré, dans sa carrière, des élèves qui ne la comprenaient pas. Récemment, un collègue m'a confié qu'une personne avait mis un an et demi avant de comprendre l'impasse simple,… sans la comprendre tout à fait. Le cas classique de l'impasse simple s'illustre, dans les cours de bridge de Mobile, Alabama, jusqu'aux confins de l'Oural, par l'exemple suivant :


                        AD

                        32


Supposons que les deux dernières cartes de chaque joueur sont de la même couleur - question de simplifier pour permettre une analyse plus limpide. Sud joue le 2 vers AD. Il fera deux levées si c'est FG qui possède le roi de cette couleur. Il ne fera qu'une levée si c'est FD. Il ne s'agit donc pas de prendre une chance ; il s'agit de mettre les chances de son côté.

L'impasse double est aussi utile que mal comprise. Voici la matrice de l'impasse double :


                        ADd73

                        54


Pour savoir s'il faut faire l'impasse double (petit vers le dix) ou l'impasse simple (petit vers la dame), on doit tenir compte de deux critères. L'impasse double peut-elle me nuire ? Par exemple, je suis dans un contrat de manche qui ne sera pas pris partout. Les cartes sont bien placées jusqu'ici, et il ne s'agit que de réaliser mon contrat pour obtenir un bon résultat sur cette planchette. Il ne me manque qu'une levée. Dans cette situation, l'impassle double est suicidaire. l'impasse simple suffira. De même, si la double impasse n'est pas nécessaire, au sens où j'ai d'autres options, et que la main à ma droite est une main dangereuse, optez pour l'impasse simple.

Mais les choses étant égales par ailleurs, tentez l'impasse double. La structure mathématique de l'impasse double nous amène à la choisir. En effet, quatre cas sont possibles. Ou bien les deux cartes supérieures (ici, le roi et le valet) sont à gauche de Sud, ou bien elles sont à droite, ou bien encore le valet est à gauche et le roi à droite. Ou, enfin, le roi est à gauche et le valet à droite. Ces deux derniers cas ne posent pas problème. En ce sens que nous sommes au niveau du 50-50. J'ai autant de chance de réussir que de me tromper, que je joue vers le dix ou vers la dame. Bref, ces deux occurrences s'annulent. Restent les deux autres. Une seule est nuisible : que les deux honneurs manquants soient situés après. Mais justement, cela ne représente qu'un cas sur quatre. Mes chances de réussite sont donc de 50% (le roi est en Est, soit à droite du déclarant, en Sud). À cela s'ajoute le 25 % des occurrences où les deux honneurs manquants sont en Ouest. Soit 50% +25% = 75%. En somme, l'impasse double est profitable dans 3 cas sur 4.

Et si je dois réussir quatre levées avec cette couleur ? Est-ce possible ? Oui, mais la probabilité s'est amincie. N'empêche, il peut arriver que ce soit nécessaire. Voici alors comment il faut procéder : j'encaisse l'as, puis je reviens faire l'impasse vers le mort (en supposant que Ouest a fourni au premier tour). Cela, surtout avec deux cartes en Sud.

Alternativement, on peut aussi considérer ceci : ADdxx au mort devant xxx. Désirant le plus de levées possible, jouez vers le d. Si vous visez quatre levées, jouez vers la dame pour vous prémunir contre un valet singleton en Est.


L'impasse bidirectionnelle est une impasse qu'on peut faire des deux côtés. Son occurrence à l'atout s'avère assez considérable. Exemple typique :

                        AVd9

                        R873

Où est la dame ? à gauche ou à droite ? Les enchères, voire les quelques cartes jouées avant de procéder à la cueillette des atouts, lorsque c'est le cas, pourront vous renseigner. En tout cas, cela pourra vous permettre d'infléchir les probabilités dans un sens ou dans l'autre. Un joueur connu a déjà émis la "théorie du poignet" : quand on amorce l'impasse d'un côté, si l'adversaire qui joue immédiatement a le poignet quelque peu tendu, il possède la dame recherchée ; si au contraire il a le poignet mou, désintéressé, il ne l'a pas. Il ne fait que fournir distraitement.

Une parenthèse reliée à ce sujet. Certains joueurs, surtout chez les débutants, feront exprès d'hésiter... avec un singleton. C'est évidemment une triche. Il y a de nombreuses années, un joueur assez bon avait cette torve coutume. On l'avertit. Il récidive. On le chasse des clubs pour quelques mois. Il revient et recommence. On l'a mis à la porte pour deux ans. Il n'est plus revenu.

Une autre mauvaise habitude, dont je vois pratiquer régulièrement le subterfuge, procède d'une déviation semblable,également condamnable. Vous allez peut-être tenter l'impasse, mais elle est particulière. Il ne reste que trois cartes dans la couleur. Peut-être que FD a cette carte singleton, auquel cas, bien sûr, il ne faut pas faire l'impasse. Que fait donc le joueur fautif, placé en FG ? Il a deux petites cartes dans la couleur. Il hésite une seconde et demie à deux secondes, comme si le choix de la carte à jouer importait beaucoup. Il joue finalement. Vous êtes donc persuadé qu'il tient l'honneur que vous cherchez. Mais non ! le vis-à-vis encaisse la levée avec l'honneur singleton. On sent un "ouf !" sur son visage.

Mais l'ordre des deux petites cartes jouées pourrait révéler un message ? Oui, chez les joueurs d'un certain calibre. Mais cette personne n'est pas à ce niveau.

Avantage marqué, quand on se fait prendre deux fois par ce bas stratagème, on sait maintenant ce qu'il faudra jouer à l'avenir : pas d'hésitation, elle a l'honneur recherché ; hésitation assez bréve mais manifeste, elle ne l'a pas. Est bien pris qui croyait prendre.

L'impasse indirecte rebute plusieurs débutants. Dommage, c'est la sorte d'impasse souvent indiquée. Exemple :

                        A83

                        D72

Vous voulez faire deux des trois levées. Vous avez le choix. Ou bien jouer d'abord votre as puis jouer vers la dame. Vous espérez que la personne tenant le roi soit au FG de la main qui a l'as. L'autre option : vous rendre dans la main de l'as et jouer tout de suite petit vers la dame. Quelle est la meilleure de ces variantes ? Cela dépend de la conjoncture. Si le retour dans la couleur ne vous fait pas peur, ou n'est pas pire qu'un autre, jouez d'abord l'as. Vous avez une petite chance de plus que le roi soit singleton à votre gauche(quelque maigre pourcentage, de l'ordre de 2% ou 3%, variable selon ce qui a été gagé et joué). Si, par contre, il est important que vous reteniez le contrôle de cette couleur pour un tour, jouez sous l'as vers la dame.

Mais il y a d'autres variantes de l'impasse indirecte. Le cas suivant se produit avec une certaine fréquence :

                        432

                        RDd5

Vous jouez le 2 vers RDd5. Si le joueur entre les deux met l'as, vous filez le parfait bonheur. S'il a l'as et ne le met pas, vous refaites l'impasse. La pression devient intolérable, il mettra son as. Avec le bénéfice additionnel éventuel que le valet tombe en deux de l'autre côté. Autre variante :

                        432

                        RV65

Même mécanisme. Sauf qu'ici, au deuxième tour, votre deuxiême impasse à partir de la main de Nord revêt un aspect psychique. Soyez assurés que le joueur entre les deux, s'il n'a pas la dame, est persuadé que vous l'avez. Il met encore ici son as, et souvent, la dame chez son partenaire tombera en méme temps. Jouer dans la tête de ses adversaires.

L'expasse s'appelait auparavant impasse en coupe. Ce vocable sera peut-être mieux compris par quelques joueurs que le terme plus relevé d'expasse. Notion très simple que l'expasse. Au mort, vous avez RD de ; en Sud, deux petits atouts (disons atout). Vous jouez le roi. Si Est joue l'as, vous coupez ; sinon vous laissez filer.L'avantage de l'expasse réside dans le fait de pouvoir jouer perdante sur perdante. Disons que le mort contient RDV devant une absence chez vous, en Sud. Vous jouez le roi. S'il n'est pas couvert (parce que Est ne l'a pas ou ne veut pas le mettre), défaussez-vous d'une perdante. Non seulement vous avez réduit deux perdantes en une, mais vous êtes maintenant en face d'un mort qui vous permettra d'écarter deux autres perdantes.

 QUELQUES CAS CLASSIQUES

1. ADxxx au mort devant V9x : pour 5 levées, jouez vers la dame, puis l'as. Pour quatre levées, jouez l'as puis faire l'impasse au dix.

2. Adxxx au mort devant R9xx. Jouer vers un des honneurs majeurs (si j'ai des raisons de croire qu'il y a trois cartes dans une main, jouer pour avoir ces trois cartes à la droite d'où je prends, pour faire l'impasse contre la main). Si aucun honneur ne tombe, jouer l'autre honneur majeur. Si un honneur tombe, faire l'impasse en mettant l'autre dans l'autre main.

3. AVd9 au mort face à Rxx. Pas d'erreur métaphysique à faire l'impasse de l'un ou l'autre côté, sauf qu'il y a un avantage psychologique à jouer rapidement le valet : si Est hésite et joue petit, laissez filer ; sinon, prenez du roi et faites l'impasse en sens inverse. Un vétéran bridgeur a élaboré une théorie dite "du coude" : Dans le cas de l'impasse, soyez très attentif au coude du défenseur qui joue. S'il est raide, tendu, la carte recherchée, ici la dame, se trouve dans sa main.

4. Axxx au mort devant Dd98. Jouer le dix vers Nord et laisser filer si Ouest joue petit. Si Est prend, répéter l'impasse. Vous ne perdez deux levées que si Est a les deux honneurs. Si les enchères vous portent à placer le roi en Est, jouer l'as puis faire l'impasse indirecte vers Sud.

5. ADdxx au mort devant xxxx. Normalement, on fait l'impasse au roi, si on vise 5 levées. Mais si je veux garantir quatre levées, j'encaisse l'as, puis je reviens faire l'impasse vers le mort (cela, en supposant que Ouest a fourni au premier tour).

 6. Axxx au mort devant DVxx. Petit vers l'as puis petit vers Sud.

 

7. ARxxx au mort devant Vd9. Le mieux est de jouer le dix, Ouest pourrait être tenté de couvrir s'il a la dame, espérant le valet en Est. De toute manière, il faut jouer vers Nord et laisser filer si Ouest joue petit.

 

8. Vxx au mort en face de ARxxx. Si vous désirez 5 levées, il faut évidemment jouer AR. S'il s'agit de l'atout, cette manoeuvre permet en plus d'isoler la dame que l'adversaire qui la possède peut être contraint d'utiliser en coupe seulement au lieu de vous enlever deux atouts. Si vous cherchez quatre levées, avec un coefficient de sécurité accru, jouer l'as, puis vers le valet.

 

9. Rdx au mort en face de A9xx. Petit vers le d. Est prend, car avec DV, Ouest aurait mis un de ceux-ci. Vous jouerez ensuite vers l'as puis petit, espérant l'autre honneur troisième chez Ouest, et promouvant le 9.

10. AVxx au mort en face de dxxx. Attaquez de x vers Nord. Si Ouest joue petit, mettez le valet en espérant que celui qui prend la main possède trois cartes dont un honneur, ou les deux honneurs secs; quand vous reprenez la main, vous jouez l'as, espérant que l'autre honneur tombe. Si, par ailleurs, il vous faut deux levées certaines, jouez l'as puis x vers le d. Si les deux adversaires suivent, l'affaire est réglée. Si Est renonce, jouez le d, vous monterez ensuite vers le valet.

On notera qu'en défense, il est plus avisé de couvrir le dernier honneur consécutif. Par exemple, le déclarant part du mort avec le valet de Vd. Ne mettez la dame que sur le d. La raison : vous brisez le tandem : le déclarant ne peut plus s'appuyer sur les deux mains, et la communication entre le déclarant et le mort sera plus difficile, sinon impossible selon le cas.

 

Après ces considérations, testons un peu notre compréhension. Au mort : Dx; en Sud, Axx. Ouest entame petit dans la couleur. Que jouez-vous du mort ? La dame, bien sûr, seule chance de faire deux plis. Alors ceci : au mort, Dx; en Sud, d9x. Entame de Ouest dans la couleur. Vous jouez.... encore la dame, seule chance de réaliser une levée, au cas (occasionnel en SA) où Ouest aurait connu le jour avec AR dans la couleur. Enfin, un problème plus épineux. En SA, vous avez Ax au mort, et d9xx en Sud. Entame petit de la couleur par Ouest. Mettez-vous l'as? Oui, au cas où l'entame aurait été faite à partir d'une couleur cinquième. L'entame prouve que Ouest ne possède pas RDVxx, qui aurait entrainé l'entame du roi. Donc Est possède au moins un honneur. Cet honneur bloquera la couleur, et si Est le débloque, Sud aura un arrêt grâce à d9x. Posez ce dernier problème à des joueurs reconnus compétents, en précisant qu'il s'agit d'un contrat en SA. Vous serez surpris(e) des résultats...

 QUAND FAUT-IL REFUSER DE FAIRE L'IMPASSE ?

Fred Karpin a écrit tout un livre sur l'impasse (The finesse), et un de ses postulats consiste justement dans le refus le plus fréquent possible de l'impasse. En d'autres mots, impasser seulement si je ne peux faire autrement. Voici plusieurs cas où le refus d'impasse convient :

a) Si l'impasse rate, c'est la main dangereuse qui prend la levée.

b) Il est possible que le déroulement du jeu nous apporte une solution différente ou un compte exact de la main.

c) L'impasse rend la reprise au mort impossible dans la couleur.

d) L'impasse est dangereuse et accidentelle à la réalisation du contrat.

e) Peut-être pourrons-nous forcer l'adversaire (élimination, mise en main, etc.) à nous fournir une impasse gratuite.

f) L'impasse n'est pas la meilleure solution (v.g. : certitude par les enchères d'une mise en main, de l'emplacement de certaines cartes clés, etc.)

g) Refus de l'impasse par manque de communication (Il faut "faire sauter" l'honneur manquant parce que je n'ai pas assez d'entrées dans la main de la longue à affranchir pour y entrer faire l'impasse et y retourner si elle rate).

h) L'impasse risque d'épuiser prématurément les atouts du déclarant. Par exemple, le déclarant ne peut à la fois enlever les atouts et établir une couleur cruciale; il joue AR d'atout, dans un fit 5-2 et établit sa couleur secondaire, concédant deux atouts à l'adversaire.

 IMPASSES QU'IL FAUT FAIRE

Il y a, comme on vient de le voir plus haut, des impasses qu'il ne faut pas faire. Par exemple, parce qu'elles représentent la chute du contrat si elles ratent, alors que d'autres voies plus intéressantes s'offrent au déclarant. Symétriquement, il y a des impasses qu'on se doit d'observer, comme on dit : "Observer un règlement." : même leur échec ne peut coûter. Au pire, c'est la moins mauvaise solution, alors que l'alternative, soit de refuser l'impasse, n'offre pas de meilleure solution et risque de s'avérer coûteuse. Voyons l'exemple suivant, joué le 15 décembre 1997 chez Gaétan Thibault :


                                  R64
                                 AD82
                                 87
                                 R983

  DVd72                                         A853 
  d7                                                   654
  52                                                   DV964
  AD42                                             V

                                9
                               RV93
                               ARd3
                               d765  


  Sud joue 4

Entame : D

  Vous êtes Sud. Vous laissez filer un pique; vous jouez le roi au deuxième tour, couvert de l'as et coupé par vous en Sud. Votre 5 est pris par l'A de Ouest. Pique coupé. Vous jouez RV ; tous fournissent. L'idée vous est venue de prendre bravement votre V au mort, espérant le bris 3-2, afin d'enlever le troisième coeur tout de suite. Mais vous n'avez pas osé. Vous rejouez rapidement votre d en regardant attentivement Ouest. Celui-ci joue petit sans sourciller. Oui, vous refuserez l'impasse ! La D doit être è votre droite... Mais voilà, Est était singleton et coupe votre R. Moins un. Or, si vous aviez analysé la main un peu plus, vous auriez conclu que l'impasse, quel que soit son résultat, vous assurait le contrat. En effet, si la D est en Est, celui-ci fait la levée, mais c'est la dernière de son camp, car alors, les trèfles cassent ! Voilà une impasse automatique. Refusez de la refuser ! Notons aussi que la couverture de votre V par un gros cœur du mort, espérant le bris 3-2, vous permet de réaliser 11 plis. Vous remonterez par les carreaux et tenterez de nouveau l'impasse trèfle. Est, cette fois, ne pourra couper.

Si vous compreniez à quel point la technique de l'impasse est importante, peut-être reprendriez-vous ce texte. La question de l'impasse se pose à chaque main, et même plusieurs fois par main. La qualité de la technique que vous y manifestez déterminera souvent la réussite ou l'échec du contrat. De même votre habileté à juger s'il faut procéder à telle impasse ou pas, s'il faut faire telle impasse avant telle autre. Nous ne pouvions couvrir toutes les impasses possibles, le nombre en serait excessif dans ce manuel. Il s'agissait plutôt de vous amener à vous poser les bonnes questions devant une impasse.

 

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